dimanche 21 février 2010
Si la foi était la branche, l’espérance en serait comme la fleur attestant avec certitude d’une fécondité à venir. C’est bien parce qu’ils ont cru que les apôtres ont gravi la montagne avec Jésus, où ils l’ont vu transfiguré – c’est l’évangile de dimanche prochain (Luc 9,28-36)
Gardons à l’esprit, tout au long de cette semaine, la très belle image que nous laisse la première lecture (Genèse 15,5-12.17-18) : celle d’un immense ciel étoilé, grand comme la promesse de Dieu. Si nous osons nous redresser et lever les yeux, nous apprendrons, à l’école d’Abraham, que la seule mesure qui convienne à l’espérance, c’est d’espérer sans mesure. «Voici, dit Dieu, que je fais du nouveau qui déjà paraît, ne l’apercevez-vous pas ?» (Isaïe 43,19).
(jerusalem.cef.fr)